1789, fin de l’Ancien Régime. La France entre en République avec la devise Liberté-Égalité-Fraternité, l’Assemblée nationale, une Constitution et le pouvoir au peuple - la démocratie. Des têtes d’affiche se succèdent à la tribune, Mirabeau, Danton, Robespierre. Malgré la Terreur et la suite - deux empires, deux monarchies -, la Révolution (française) marque un progrès irréversible, exemplaire pour le monde.
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Affichage de 76 - 100 sur 176.(1759-1794), Législative, 2 septembre 1792
« Il nous faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée. »1428
(1759-1794), Législative, 2 septembre 1792
Mot d’ordre de la presse révolutionnaire
(1754-1793), Lettre à un ami, 5 septembre 1792
(1749-1832), Aus meinem Lebe : Dichtung und Warheit - De ma vie : Poésie et Vérité (1811-1833), autobiographie
(1763-1793), député du Tarn, Convention, 25 septembre 1792
« Que la pique du peuple brise le sceptre des rois ! »1447
(1759-1794), Convention, 4 octobre 1792
(1758-1794), Convention, 5 novembre 1792
« Nous ne pourrons être tranquilles que lorsque l’Europe, et toute l’Europe, sera en feu. »1456
(1754-1793), Lettre à Servant, 26 novembre 1792
« Tout le monde veut bien de la République ; personne ne veut de la pauvreté ni de la vertu. »1457
(1767-1794), Discours sur les subsistances, Convention, 29 novembre 1792
Acte d’accusation de Louis XVI, Convention, 11 décembre 1792
« L’arbre de la liberté ne saurait croître s’il n’était arrosé du sang des rois. »1475
(1755-1841), à la tribune, 20 janvier 1793
« Fils de Saint Louis, montez au ciel. »1478
(1745-1807), confesseur de Louis XVI, au roi montant à l’échafaud, 21 janvier 1793
« Peuple, je meurs innocent ! »1479
(1754-1793), à la foule, place de la Révolution à Paris (aujourd’hui place de la Concorde), 21 janvier 1793
« Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que mon sang ne retombe pas sur la France. »1480
(1754-1793), au bourreau Sanson et à ses aides, 21 janvier 1793. « Second mot de la fin » du roi
(fin du XVIIIe siècle), Joie du peuple républicain (début 1793), chanson
« Tous ces hommes qui devaient nous donner la liberté l'ont assassinée. »1486
(1768-1793), Lettre à une amie, 28 janvier 1793
« On a cherché à consommer la Révolution par la terreur ; j’aurais voulu la consommer par l’amour. »1493
(1753-1793), Convention, 10 avril 1793
(1753-1793), Convention, 10 avril 1793
« Donnez un verre de sang à ce cannibale : il a soif ! »1496
(1753-1793), à Marat vitupérant à la tribune de la Convention, 13 avril 1793