Ennemi le plus constant de la France, des premières invasions germaniques de la Gaule à la fin de la Seconde Guerre mondiale, que l’Allemagne soit un empire ou une mosaïque d’États, s’identifie à la Prusse de Bismarck ou s’incarne dans le fascisme d’Hitler. Enfin, la paix, la réunification finale (1990) et l’Europe en devenir.
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Affichage de 1 - 25 sur 48.(1619-1688), Dictionnaire universel, Préface (posthume, 1690)
« Quand Paris boira le Rhin, toute la Gaule aura sa fin. »508
(XVIe siècle), Le Rhin au Roy (1568)
« Quand les Français rendront ArrasLes souris mangeront les chats. »728
Écrit sur une des portes de la ville d’Arras que les Français ont prise, le 9 août 1640
« Je vois bien qu’on a pressé l’orange, il faut penser à sauver l’écorce. »1133
(1694-1778), Lettre à Mme Denis, 18 décembre 1752. Correspondance (posthume)
« Il a travaillé, il a travaillé, pour le roi de Prusse. »1150
Refrain, devenu proverbe, et signifiant travailler pour rien.
Chanson sur la défaite de Soubise à Rossbach (en Prusse) (1757)
(1749-1832), Aus meinem Lebe : Dichtung und Warheit - De ma vie : Poésie et Vérité (1811-1833), autobiographie
« Pas besoin de sabres, les gourdins suffiront pour ces chiens de Français ! »1817
(1770-1827), roi de Prusse, été 1806
(1754-1838), Lettre à Louis XVIII, 4 janvier 1815
« L’empereur est une grande incapacité méconnue. »2249
(1815-1898)
(1815-1898), chancelier de la Confédération d’Allemagne du Nord
« Nous l’acceptons le cœur léger. »2311
(1825-1913), Corps législatif, le jour de la déclaration de guerre à la Prusse, 19 juillet 1870
Ces beaux Prussiens (1870), chanson
(1808-1873), Lettre à Guillaume Ier, Sedan, 1er septembre 1870
« Une guerre entre Européens est une guerre civile. »2323
(1802-1885), Carnets, albums et journaux
« Sauver Paris, c'est plus que sauver la France, c'est sauver le monde. »2325
(1802-1885), Pendant l’exil (écrits et discours de 1852-1870)
Les Actes de Badinguet (1870), chanson
(1815-1898), le chancelier allemand qui fixe donc la « rançon » à au moins un milliard de franc, le 23 janvier 1871
(1840-1892), paroles, et (1847-1899), musique, Le Fils de l’Allemand, chanson
« Nous sommes gueux comme des rats d'église. »2415
(1797-1877), au gouverneur de la Banque de France, faisant allusion aux finances de l’État, 24 mars 1871
(1840-1892), paroles, et (1847-1899), musique, Le Maître d’école alsacien, chanson