Réussi ou raté, revendiqué ou anonyme, forme de violence récurrente qui peut devenir tuerie de masse (11 septembre 2011). Les motifs sont religieux ou politiques (régicide, anarchie, résistance, terrorisme, opposition d’extrême gauche ou d’extrême droite) et la tête de l’État est souvent visée (roi, empereur, président de la République).
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Affichage de 1 - 25 sur 42.« Si c’était un homme du moins ! C’est un goujat ! »524
(1519-1572), dans la nuit du 23 au 24 août 1572
« Le corps d’un ennemi mort sent toujours bon. »525
(1550-1574), le 24 août, jour de la Saint-Barthélemy (du nom du saint, fêté sur le calendrier)
« Ah ! le méchant moine, il m’a tué, qu’on le tue ! »573
(1551-1589), Saint-Cloud, 1er août 1589, « premier mot de la fin »
(1553-1610), venant d’échapper à l’attentat de Jean Châtel, 27 décembre 1594
(1553-1610), à ses compagnons, au matin du 14 mai 1610
(1553-1610), mot de la fin, 14 mai 1610
(1601-1643), le soir du 14 mai 1610
« Si on ne veut pas lui dire la nouvelle, qu'on la lui chante ! »672
(1573-1642), 24 avril 1617
(1713-1784), Encyclopédie, article « Christianisme »
« Le monstre est un chien qui aura entendu aboyer quelques chiens et qui aura pris la rage. »1144
(1694-1778), Lettre à Mme de Lutzelbourg, 20 janvier 1757, Correspondance (posthume)
« La journée sera rude ! »1145
(1715-1757), à qui sa condamnation est lue, 28 mars 1757
« Ici repose Marat, l’Ami du Peuple, assassiné par les ennemis du peuple, le 13 juillet 1793. »1520
Épitaphe sur la tombe de Marat
(1768-1793), à son procès devant le Tribunal révolutionnaire, 17 juillet 1793
« N’est-ce pas que je suis de la poule blanche ! »1714
(1769-1821), à sa mère, après l’attentat de la rue Saint-Nicaise, 24 décembre 1800
(1759-1820), ministre de la Police, 1er janvier 1801
« L’air est plein de poignards. »1741
(1759-1820), mi-janvier 1804
« C'est pire qu'un crime, c'est une faute. »1747
(1761-1840), apprenant l’exécution du duc d’Enghien, le 21 mars 1804.
Mot parfois attribué, mais à tort, à (1759-1820) ou à (1754-1838)
(1771-1804), mot de la fin, et dernier cri du premier des condamnés à être guillotiné place de Grève, 25 juin 1804
« Que voulez-vous, mon cher, la religion se perd ! »1837
(1754-1838), à Fouché, en 1809
« Le pied lui a glissé dans le sang. »1978
(1768-1848)
« Quel dommage que je n'aie pas été blessé, j'aurais pu faire grâce ! »2086
(1773-1850), après l’attentat de Fieschi, 28 juillet 1835