« Ceux qui prient, ceux qui combattent, ceux qui travaillent. »52
(vers 947-1030) et (1033-1109)
(1592-1662), Épigramme sur le Dictionnaire de l’Académie
(1638-1715), Mémoires pour l’instruction du Dauphin (1662)
(1638-1715)
(1675-1755), Mémoires (posthume)
« Pro rege saepe ; pro patria semper. » « Pour le roi souvent ; pour la patrie toujours. »862
(1619-1683), sa devise
« Si j’avais fait pour Dieu ce que j’ai fait pour cet homme, je serais sauvé dix fois. »891
(1619-1683), sur son lit de mort, parlant de Louis XIV, début septembre 1683. Mot de la fin
(1694-1778), Lettres philosophiques (1734)
(1694-1778), Lettre à d’Argental, 22 octobre 1759, Correspondance (posthume)
« J’aime mieux leur [aux paysans] demander des bras qu’ils ont que de l’argent qu’ils n’ont pas. »1104
(1689-1747), contrôleur général des Finances de 1730 à 1745
« Il a travaillé, il a travaillé, pour le roi de Prusse. »1150
Refrain, devenu proverbe, et signifiant travailler pour rien.
Chanson sur la défaite de Soubise à Rossbach (en Prusse) (1757)
Les Édits (1776), chanson des Jacques Bonhomme de France
(1760-1825), Doctrine de Saint-Simon : Exposition. Première année (1829)
(1772-1837), Livret d’annonce du nouveau monde industriel (1829)
(1787-1874), Discours du 3 mai 1837
« Vivre libres en travaillant ou mourir en combattant. »2069
Cri célèbre de l’émeute des canuts, 22 novembre 1831
« Du travail ou la mort ! Nous aimons mieux périr d’une balle que de faim. »2071
Réponse des ouvriers au préfet
(1777-1832), Chambre des députés, 1831
(1821-1870), parole et musique, Le Chant des ouvriers (1846)
(1818-1860), Les Aristos (1848), chanson
(1811-1882), parlant au nom du gouvernement provisoire, 25 février 1848
(1794 ou 1795-1851), Discours à la Bourse, 30 avril 1848