Mot thème et mot clé le plus présent dans l’histoire de France en citations. Logique. Mais que de perles ! Un exemple parmi quelques centaines : “ Un fou a dit “Moi la France” et personne n’a ri parce que c’était vrai. ” Faut-il préciser qu’il s’agit du général de Gaulle en 1940, vu par Mauriac.
Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index
Affichage de 26 - 50 sur 143.(1813-1888), Revue des deux mondes (15 août 1876)
« La France, le plus beau royaume après celui du Ciel. »691
(1583-1645), Épître dédicatrice. De jure belli ac pacis (1625)
« C’est le plus grand serviteur que jamais la France ait eu. »706
(1601-1643), défendant le cardinal contre sa mère au lendemain de la journée des Dupes, le 11 novembre 1630
« Nous sommes la tête d’un corps dont les sujets sont les membres. »808
(1638-1715), Mémoires pour l’instruction du Dauphin (1662)
(1791-1861), Discours de réception à l’Académie française (1834)
Épitaphe (anonyme) de Colbert, 1683
(1732-1804), De l’administration des finances de la France (1784)
(1740-1794), Pensées, maximes et anecdotes (posthume, 1803)
(1754-1793), Lettre à Marie-Antoinette
(1709-1783), Or, écoutez, petits et grands, chanson (mai 1774)
(1868-1955), ambassadeur de France aux États-Unis, prenant la parole devant la société des Cincinnati
« C’est à l’horloge de la France que vont […] sonner les premiers coups des nouveaux temps. »1288
(1923-1999), Les Hommes de la liberté, Le sang de la Bastille (1987)
(1805-1859), L’Ancien Régime et la Révolution (1856)
« Ici commence le pays de la Liberté ! »1366
Inscription sur un drapeau français, planté sur le pont de Kehl à Strasbourg, 13 juin 1790
(1798-1874), Histoire de la Révolution française (1847-1853)
« Il nous faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée. »1428
(1759-1794), Législative, 2 septembre 1792
(1756-1819) aux massacreurs, 3 septembre 1792
(1763-1793), député du Tarn, Convention, 25 septembre 1792
« Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que mon sang ne retombe pas sur la France. »1480
(1754-1793), au bourreau Sanson et à ses aides, 21 janvier 1793. « Second mot de la fin » du roi
(fin du XVIIIe siècle), Joie du peuple républicain (début 1793), chanson
« Que la France soit libre et que mon nom soit flétri ! »1491
(1759-1794), Convention, 10 mars 1793
(1768-1793), à son procès devant le Tribunal révolutionnaire, 17 juillet 1793