Source de citations, et quand c’est signé Ronsard ou Marot, Hugo ou Baudelaire, Rimbaud, Péguy ou Apollinaire, Éluard ou Aragon, il ne faut pas s’en priver.
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Affichage de 1 - 25 sur 39.« De deux maux, on doit toujours choisir le moindre. »194
(fin XIIe-1214), Chanson de la croisade albigeoise
(vers 1431-1463), Le Grand Testament, Ballade des dames du temps jadis (1462)
« Voyez, voyez tout à la ronde Comment le monde rit au monde, Ainsi est-il en sa jeunesse. »386
(1496-1544), Colloque de la Vierge méprisant le mariage (publication posthume)
(1524-1585), Hymne de France (1555-1556)
« France, mère des arts, des armes et des lois ! »390
(1522-1560), Les Regrets (1558)
« Que dit-on à la cour, que fait-on à Paris ?Quels seigneurs y voit-on, et quelles damoiselles ? »400
(vers 1529-vers 1561), Les Soupirs (1557)
(1496-1544), Quatrain à François Ier
(1524-1585), Discours des misères de ce temps, Remontrance au peuple de France (1562)
« Comme corbeaux acharnez, / Sur ce corps mort vous venez. »513
(vers 1548-vers 1572), Complainte sur les misères de la guerre civile (1570)
« Je veux peindre la France une mère affligée, / Qui est, entre ses bras, de deux enfants chargée. »545
(1552-1630), Les Tragiques (1616)
« Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : / Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. »546
(1524-1585), Sonnet à Hélène (1578)
(1555-1628), Poésies, Ode pour le roi (1628)
(1790-1869), Première méditation (1820)
« Voltaire alors régnait, ce singe de génieChez l’homme en mission par le diable envoyé. »1017
(1802-1885), Les Rayons et les ombres (1840)
« Voici le temps de l'aimable Régence, Temps fortuné marqué par la licence. »1069
(1694-1778), La Pucelle, chant XIII (posthume, 1859)
(1694-1778), La Bastille (1717), Poésies diverses
« Hélas ! je n’ai rien fait pour la postérité ; et pourtant, j’avais quelque chose là. »1599
(1762-1794), se frappant le front avant de monter à l’échafaud, 25 juillet 1794. Mot de la fin d’un poète
(1802-1885), Les Feuilles d’automne (1831)
(1797-1863), Servitude et grandeur militaires (1835)
« L’Angleterre prit l’aigle et l’Autriche l’aiglon. »1961
(1802-1885), Les Chants du crépuscule (1835)
(1810-1857), Poésies nouvelles, Rolla (1833)