Il y a eu le sang bleu, le sang royal, les princes “ du sang ”, le sang national, mais c’est le sang rouge, le sang des hommes, le sang versé dans les guerres et les révolutions, au fil des “ boucheries ”, batailles et massacres qui ont marqué l’histoire, avec une violence et une constance tragiques.
Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index
Affichage de 1 - 25 sur 31.« Saignez, saignez, la saignée est aussi bonne au mois d’août qu’au mois de mai ! »527
(1509-1573), 24 août 1572
(1813-1888), Revue des deux mondes (15 août 1876)
(1627-1704), Politique tirée de l’Écriture sainte (posthume)
(1651-1715), Les Aventures de Télémaque (1699)
« La plus éclatante victoire coûte trop cher, quand il faut la payer du sang de ses sujets. »941
(1638-1715), Lettre à l’intention du Dauphin, août 1715
(1694-1778), Lettres philosophiques, ou Lettres anglaises (1734)
(1710-1774), Lettre à Ferdinand VI d’Espagne, 1754
(1802-1885), Le Dernier Jour d’un condamné (1829)
(1754-1793), Lettre à M. de Bouillé, 3 juillet 1791
(1760-1836), Le Chant de guerre pour l’armée du Rhin, refrain (1792)
« Je subirai le sort de Charles Ier, et mon sang coulera pour me punir de n’en avoir jamais versé. »1465
(1754-1793), Lettre à Malesherbes, écrite au Temple, décembre 1792
« L’arbre de la liberté ne saurait croître s’il n’était arrosé du sang des rois. »1475
(1755-1841), à la tribune, 20 janvier 1793
« Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que mon sang ne retombe pas sur la France. »1480
(1754-1793), au bourreau Sanson et à ses aides, 21 janvier 1793. « Second mot de la fin » du roi
« Donnez un verre de sang à ce cannibale : il a soif ! »1496
(1753-1793), à Marat vitupérant à la tribune de la Convention, 13 avril 1793
(1768-1793), Adresse aux Français, amis des lois et de la paix
(1755-1829), répondant à (1753-1823), première séance du Directoire, début novembre 1795
« Le pied lui a glissé dans le sang. »1978
(1768-1848)
(1790-1869), Banquet politique tenu à Mâcon, 18 juillet 1847
(1790-1869), chef du gouvernement provisoire, derniers mots de son discours du 25 février 1848