Sous l’Ancien Régime, les lois fondamentales du royaume assurent la continuité de l’État avec la monarchie héréditaire. Des juristes en précisent les termes et Du Bellay salue en poète de la Renaissance cette “ France, mère des arts, des armes et des lois. ” Les philosophes des Lumières contestent, la Révolution fait table rase du passé et la République donne le pouvoir législatif au Parlement, émanation du peuple.
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(1522-1560), Les Regrets (1558)
(vers 1494-1553), Le Cinquième livre (posthume)
(1732-1804), De l’administration des finances de la France (1784)
« Les lois […] sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses. »1004
(1689-1755), L’Esprit des Lois (1748)
(1689-1755), Cahiers (posthume)
(1689-1755), L’Esprit des Lois (1748)
(1694-1778), Lettres philosophiques, ou Lettres anglaises (1734)
« Toute loi que le peuple en personne n’a pas ratifiée est nulle ; ce n’est point une loi. »1044
(1712-1778), Du contrat social (1762)
(1713-1784), Encyclopédie, article « Autorité politique »
Épigramme, juin 1778, attribuée à
(1712-1778), à la mort de Voltaire
« Tout condamné à mort aura la tête tranchée. »1402
Loi du 6 octobre 1791
(1758-1794), Sur le parti à prendre à l’égard de Louis XVI, Convention, 3 décembre 1792
(1759-1794), Discours devant le Comité révolutionnaire de Castres, printemps 1793
(1767-1794), Convention, 10 octobre 1793
Les Mérites de Bonaparte, chanson
« La femme doit obéissance à son mari. »1749
Code civil (21 mars 1804), article 213
(1777-1832), à propos du projet de loi sur la police de la presse, Chambre des députés, 29 décembre 1826.
Mot également attribué, selon quelques sources, à (1763-1845), autre député libéral
« Les lois ne manquent point à la justice ; la force ne manquera point aux lois. »2063
(1787-1874), Chambre des députés, 11 septembre 1830