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(vers 265-340), Histoire ecclésiastique (premier document sur les débuts de l’Église, diverses éditions et traductions)
Chanson nouvelle composée sur les regrets du trépassement du Très Chrétien Roi de France, 1547
« Je le soignai, Dieu le guérit. »484
(vers 1509-1590), phrase gravée sur le socle de sa statue à Laval, sa ville natale
« Que mon peuple persiste et demeure ferme en la foi en laquelle je meurs. »492
(1519-1559), mot de la fin, le 10 juillet 1559
(1519-1589), Lettre à sa fille Élisabeth, janvier 1561
(1524-1585), Le Tombeau du feu Roi Très Chrétien Charles IX - épitaphe
(1519-1589), Lettre à Bellièvre, 10 juin 1584
« La Ligue nous a réduits non à la pauvreté, mais à la mendicité. »643
(1529-1615), Les Recherches de la France (1633)
(1553-1610), Déclaration au Parlement, 7 février 1599
(1813-1888), Revue des deux mondes (15 août 1876)
(1601-1643), au futur roi qui n’a pas 5 ans, 21 avril 1643
(1638-1715), Mémoires pour l’instruction du Dauphin (1662)
« Presque tous les hommes meurent de leurs remèdes et non pas de leurs maladies. »879
(1622-1673), Le Malade imaginaire (1673)
(1638-1715), à Mme de Maintenon, 25 août 1715
« Les philosophes sont plus anatomistes que médecins : ils dissèquent et ne guérissent pas. »996
(1753-1801), Fragments et pensées philosophiques (posthume)
(1712-1778), Les Rêveries d’un promeneur solitaire (posthume, 1782)
(1713-1784), Encyclopédie, article « Christianisme »
« Le monstre est un chien qui aura entendu aboyer quelques chiens et qui aura pris la rage. »1144
(1694-1778), Lettre à Mme de Lutzelbourg, 20 janvier 1757, Correspondance (posthume)
« Après nous, le déluge. »1151
(1721-1764), à Louis XV, fin 1757
(1721-1791), Mémoires de Besenval (posthume, 1805)
(1694-1778), Lettre à Mme du Deffand, 27 février 1775, Correspondance (posthume)