L’un des plus grands maux de l’Ancien Régime fondé sur les classes sociales et les privilèges, dénoncés par les philosophes des Lumières. La Révolution s’empressa de les abolir (nuit du 4 août 1789) et proclama l’égalité des droits, progrès incontestable. Restent les inégalités de fait qui demeurent et parfois s’aggravent.
Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index
Affichage de 1 - 25 sur 34.(vers 1494-1553), Le Cinquième livre (posthume)
« Le pauvre peuple des champs meurt de faim et se damne. »589
(1576-1660)
(1713-1784), Principes de politique des souverains (1774)
(1694-1778), Lettres philosophiques (1734)
(1739-1817), De l’origine et des progrès d’une science nouvelle (1768)
« Le peuple est taillable et corvéable à merci. »966
(1718-1802)
(1740-1794), Pensées, maximes et anecdotes (posthume, 1803)
(1712-1778), Correspondance, à M. Moulton
« Vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n’est à personne ! »1037
(1712-1778), Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755)
Cahier de doléances du tiers état
Requête des dames à l’Assemblée nationale
(1749-1791), Discours à la Constituante, 26 septembre 1789
(1743-1793), L’Ami du peuple, 7 octobre 1790
(1762-1817), Discours prononcé à la Société fraternelle des Minimes, 25 mars 1792
(1758-1794), Sur le parti à prendre à l’égard de Louis XVI, Convention, 3 décembre 1792
(1750-1803), Manifeste des Égaux,
programme rédigé fin 1795, et devenu la Charte de la conspiration des Égaux
(1760-1825), L’Organisateur (1819)
(1760-1825), Doctrine de Saint-Simon : Exposition. Première année (1829)