Si présents, si absents dans l’Histoire - l’un de ses paradoxes.
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Affichage de 1 - 25 sur 54.« Hélas ! Vous ne me laisserez donc voir mon seigneur ni morte ni vive ! »211
(1221-1295), à Blanche de Castille, 1240
« Pour mon honneur et celui de ma nation, je choisirai plutôt honnête prison que honteuse fuite. »456
(1494-1547), Lettre aux Grands du Royaume et aux Compagnies souveraines, 1525
(1519-1589), Lettre à sa fille Élisabeth, janvier 1561
« Je veux peindre la France une mère affligée, / Qui est, entre ses bras, de deux enfants chargée. »545
(1552-1630), Les Tragiques (1616)
(1519-1589), Lettre à Bellièvre, 10 juin 1584
(1553-1610), Lettre à Marie de Médicis, 27 janvier 1601
(1553-1610), répondant à MARIE DE MÉDICIS (1573-1642)
« Monsieur l’Ambassadeur, avez-vous des enfants ? »658
(1553-1610)
(1601-1643), le soir du 14 mai 1610
« Ils font comme leurs enfants, ils jouent “à la fronde”. »745
(1871-1956), La Fronde
« Dieu se sert de tous les moyens. »899
(1635-1719)
(1638-1715), à la foule des courtisans, après un Conseil resté célèbre, 16 novembre 1700
« S’il faut faire la guerre, j’aime mieux la faire à mes ennemis qu’à mes enfants. »937
(1638-1715), Manifeste au peuple, juillet 1710
(1712-1778), Les Rêveries d’un promeneur solitaire (posthume, 1782)
« Il n’y a qu’une science à enseigner aux enfants, c’est celle des devoirs de l’homme. »1050
(1712-1778), L’Émile ou De l’éducation (1762)
« Toujours coucher, toujours grosse, toujours accoucher. »1106
(1703-1768), en 1737
(1754-1793), au matin du 6 octobre 1789 à Versailles